Nous sommes aujourd’hui le 25 janvier, un mois après Noël, il fait frette en tabarouette!
L’an dernier à pareille date j’écrivais dans la Pause Café (voir ici) à quel point les Laurentides étaient affectées par les pluies diluviennes qui avaient gonflé le lit de la rivière Rouge et la Rivière du Nord.
L’an dernier nous étions encore sur le choc du séisme qui avait secoué Haïti et je sais que je ne vais pas vous réchauffer en vous disant que la température pointait plus 6 C le jour et de 0 la nuit. Tandis qu’il y 2 ans débutait le lockout du journal de Montréal et il faisait aussi froid qu’aujourd’hui avec un minimum de – 30 C la nuit.
Ce qui m’inquiète présentement c’est surtout le manque de neige et de précipitations qui assèchera nos débits d’eau comme l’an dernier. Vivrons-nous encore une sécheresse et verrons-nous le fleuve Saint-Laurent à son plus bas niveau ainsi que la Rivière des Mille-Îles sans eaux encore une fois dans l’incapacité de ravitailler les municipalités construites sur ses rives?
En attendant l’été, acceptons ce froid sibérien qui nous fige comme étant le dernier de l’année et espérons que la neige soit au rendez-vous pour bien terminer l’hiver