La date d’échéance est le premier décembre. Il semble que dans deux semaines si les quatre syndicats qui représentent quelques 500 employés ne parviennent pas à une entente, la survie du Journal est irréversible.
Les concessions exigées pour signer les nouvelles conventions collectives ont été prises pour du Bluff par certains en septembre, mais maintenant à 2 semaines de l’ultimatum certains employés semblent encore confiants d’une entente, néammoins l’atmosphère demeure invivable dans les bureaux.
Tout est prêt pour la fermeture de cette institution fondée en 1884 que je vois de plus en plus évidente.
J’ai un mal fou à envisager la vie médiatique sans La Presse et Cyber Presse!