David Whissell - Cote Moody's

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Moody's augmente la cote de crédit du Québec
pour une deuxième fois depuis juin
 
« Les Québécois peuvent être très fiers »
-         David Whissell
 
– Le député d'Argenteuil et responsable des régions des Laurentides et de Lanaudière, M. David Whissell, a accueilli avec beaucoup de satisfaction la décision de l'agence de crédit New-Yorkaise Moody's d'augmenter la cote de crédit du Québec de Aa3 à Aa2, confirmant ainsi leur évaluation de la saine gestion financière de notre gouvernement.
 
 « La décision de Moody's confirme la rigueur avec laquelle notre gouvernement a géré les finances publiques du Québec au cours des trois dernières années », a indiqué le député. « C'est la première fois en plus de trente ans que le Québec atteint ce niveau de cotation et les députés péquistes de la région devraient s'en réjouir», d'ajouter monsieur Whissell.
 
Cette décision de Moody's découle de l'application des ajustements techniques apportés aux méthodes d'évaluation de la cote des gouvernements mise en place par la firme à l'échelle mondiale. Monsieur Whissell tient à rappeler que le 14 juin dernier Moody's avait procédé à une première hausse de la cote de crédit du Québec en annonçant qu'elle passait de A1 à Aa3. Il faut savoir qu'une telle hausse permet au gouvernement d'élargir le bassin d'investisseurs susceptibles d'acheter les obligations émises par le Québec, lui permettant de sauver annuellement des dizaines de millions de dollars en intérêts.
 
« C'est une excellente nouvelle pour le Québec. La dernière fois que la cote a été augmentée à Aa2, c'était en 1975, soit avant la première élection d'un gouvernement péquiste », a mentionné le monsieur Whissell. 
 
« Depuis son élection en avril 2003, le gouvernement libéral a entrepris une importante modernisation de l'État. Nous avons recentré l'État sur ses missions essentielles et mis fin à l'éparpillement dans les interventions gouvernementales. Aujourd'hui, nous en récoltons les fruits, nous constatons que cela se traduit non seulement par un assainissement des finances publiques, mais aussi par une diminution importante du fardeau fiscal des contribuables québécois », a conclu David Whissell.