
Me Denise Beaudoin et Mme Françoise Drapeau-Monette, coprésidentes du CECC et maîtres d'uvre du projet Je m'en souviens, un projet centre d'interprétation et de musée relatant entre autres l'histoire de l'expropriation de Mirabel, se réjouissent de l'accueil très positif qu'il a reçu de près de 250 personnes, toutes liées de près ou de loin à ce triste épisode, et réunies pour la circonstance, dans ce lieu marquant que fut la salle paroissiale de l'église de Sainte-Scholastique .
Précieux héritage
La soirée était consacrée au dévoilement et au lancement officiel du projet d'établissement, au Manoir de Belle-Rivière (Sainte-Scholastique de Mirabel), d'un lieu dédié à la conservation et à la mise en valeur de cet événement historique, fondé à la fois sur un profond sentiment général d'injustice et sur une farouche solidarité.
« Nous y avons lancé un appel pressant à la collaboration de tous ceux et celles qui ont été touchés par cette expropriation afin qu'ils contribuent par leurs dons, documents d'archives, photos, lettres, films, etc., à construire avec nous ce Musée. L'expropriation de Mirabel appartient de l'histoire du Québec et elle ne doit disparaître sous aucun prétexte ! » ont lancé les deux coprésidentes.

La soirée a donné lieu à de nombreux témoignages, notamment de la part
de gens qui ont dirigé le fameux CIAC à l'époque, soit Mmes Rita Lafond
et Françoise Drapeau-Monette et MM. Fernand Gauthier et André Bouvette
; pour sa part, Mgr Charles Valois, alors archevêque de Saint-Jérôme,
leur avait apporté son soutien, et aujourd'hui, il le renouvelle à
l'endroit du projet présenté hier soir. L'émotion était certes au
rendez-vous de cette rencontre d'information mais accompagnée d'une
grande sérénité, comme l'ont indiqué plusieurs intervenants dans la
salle.
Agir ensemble et dans la même direction
Selon Mmes Beaudoin et Drapeau-Monette, « Après tous ces mois de travail de préparation, la table est maintenant mise pour la réalisation de cet ambitieux projet auquel sont rattachés de nombreux bénévoles, dont les membres du conseil d'administration du CECC. Une planification et un budget afférent ont été développés et des démarches sont en cours auprès de divers organismes et de bailleurs de fonds. L'essentiel, ont-elles rappelé avec force, réside dorénavant chez toutes les personnes concernées par l'expropriation de 1969 et qui sont en possession de tout matériel relatif à ces événements : nous sollicitons leur collaboration pour nous le rendre disponible pour que nous réalisions enfin, près de 40 ans plus tard, cette indispensable uvre de mémoire collective à l'intention des générations futures. À l'avance, nous les remercions sincèrement. »
Le comment
Les gens sont invités à communiquer avec le CECC (450 258-0111 ou Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. ) pour prendre rendez-vous afin d'indiquer tout document pertinent qu'ils veulent voir confier au Musée, ou de livrer leurs témoignages qui seront recueillis au Manoir de Belle-Rivière par l'historien Gilles Boileau.
La soirée était consacrée au dévoilement et au lancement officiel du projet d'établissement, au Manoir de Belle-Rivière (Sainte-Scholastique de Mirabel), d'un lieu dédié à la conservation et à la mise en valeur de cet événement historique, fondé à la fois sur un profond sentiment général d'injustice et sur une farouche solidarité.
« Nous y avons lancé un appel pressant à la collaboration de tous ceux et celles qui ont été touchés par cette expropriation afin qu'ils contribuent par leurs dons, documents d'archives, photos, lettres, films, etc., à construire avec nous ce Musée. L'expropriation de Mirabel appartient de l'histoire du Québec et elle ne doit disparaître sous aucun prétexte ! » ont lancé les deux coprésidentes.

Agir ensemble et dans la même direction
Selon Mmes Beaudoin et Drapeau-Monette, « Après tous ces mois de travail de préparation, la table est maintenant mise pour la réalisation de cet ambitieux projet auquel sont rattachés de nombreux bénévoles, dont les membres du conseil d'administration du CECC. Une planification et un budget afférent ont été développés et des démarches sont en cours auprès de divers organismes et de bailleurs de fonds. L'essentiel, ont-elles rappelé avec force, réside dorénavant chez toutes les personnes concernées par l'expropriation de 1969 et qui sont en possession de tout matériel relatif à ces événements : nous sollicitons leur collaboration pour nous le rendre disponible pour que nous réalisions enfin, près de 40 ans plus tard, cette indispensable uvre de mémoire collective à l'intention des générations futures. À l'avance, nous les remercions sincèrement. »
Le comment
Les gens sont invités à communiquer avec le CECC (450 258-0111 ou Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. ) pour prendre rendez-vous afin d'indiquer tout document pertinent qu'ils veulent voir confier au Musée, ou de livrer leurs témoignages qui seront recueillis au Manoir de Belle-Rivière par l'historien Gilles Boileau.