La Chambre de commerce et dindustrie Thérèse-De Blainville joint sa voix à la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) et considère le lancement officiel de la construction de la centrale hydroélectrique Eastmain-1-A et de la dérivation de la rivière Rupert comme une excellente décision prise par le gouvernement et un pas de plus en faveur de la création de richesse pour le Québec, notamment pour les Cris et les régions du Nord-du-Québec, de lAbitibi-Témiscamingue et du Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Par ailleurs, au cours des derniers mois, la FCCQ a clairement fait connaître sa position en faveur de lavancement de projets économiques structurants et porteurs de développement durable pour le Québec. Dans cette perspective, elle a activement milité pour la mise en chantier de ce projet générateur de 27 000 emplois directs et indirects et de retombées pour le Québec évaluées à plus de 532 millions de dollars en région.
« Cette annonce démontre bien que si nous avons des processus clairs, des critères transparents et mesurables, des communautés animées et de bonne foi, une détermination patiente mais soutenue, ainsi que des alliés convaincus et capables de souplesse, il y a possibilité au Québec dagir, davancer et de développer », de souligner Françoise Bertrand, présidente-directrice générale de la Fédération des chambres de commerce du Québec. « Ainsi, le domaine de lénergie montre la voie à dautres secteurs et laisse entrevoir aux gens daffaires lespoir de réalisation de projets », dajouter Françoise Bertrand.
Selon la FCCQ, ce projet fera grandir la fierté des Québécois, le savoir-faire de nos entreprises et le talent de nos travailleurs, tout en poursuivant notre engagement à miser sur notre richesse collective quest lhydroélectricité. « À terme, la richesse énergétique liée à ce projet permettra de nouveaux développements bénéfiques à léconomie québécoise », de conclure Françoise Bertrand.
La FCCQ salue le respect démontré par les gouvernements à lendroit des Cris, des Jamésiens et des collectivités du Nord-du-Québec, de lAbitibi-Témiscamingue et du Saguenay-Lac-Saint-Jean.
La nouvelle représente un exemple concret de projet réel de développement durable qui respecte aussi bien les considérations environnementales et sociales que les besoins incontournables de développement économique. 
